Les chercheurs

Laurence est étudiante en troisième année au baccalauréat en anthropologie à l’Université Laval. Elle s’est jointe au projet REPSAQ dans le cadre de sa formation pratique. Un de ses objectifs, dans le projet, est de contribuer à la documentation d’initiatives agroenvironnementales qui visent la transition vers un système alimentaire plus durable des régions de Chaudière-Appalaches et de Capitale-Nationale en faisant des études de cas sur deux d’entre elles. Elle est également responsable de la révision du présent site web et effectue diverses tâches liées à différents volets du projet.

Maxime est étudiant au baccalauréat en anthropologie à l’Université Laval. Il s’est joint au projet REPSAQ dans le cadre de sa formation pratique. Son objectif principal, dans le projet, est de documenter les initiatives agroenvironnementales qui visent la transition vers un système alimentaire plus durable de la région de Chaudière-Appalaches et Capitale-Nationale. Il devra par ailleurs faire trois études de cas sur certaines des initiatives retenues par les co-chercheur(e)s. Il s’est joint au projet, en premier lieu, pour son intérêt pour les systèmes alimentaires.

Manon Boulianne est professeure titulaire au Département d'anthropologie de l'Université Laval. Elle assume le rôle de chercheure principale au sein du projet « Vers une alimentation territorialisée et durable : une recherche participative pour comprendre le système alimentaire de Québec ».

Son enseignement concerne l'anthropologie urbaine, la paysannerie, la famille ainsi que la consommation. Ses travaux de recherche actuels concernent la transformation des systèmes alimentaires et des pratiques de consommation dans le contexte de la globalisation. Après des travaux sur l’agriculture urbaine et les fromages de terroir du Québec, elle a dirigé, de 2012 à 2016,  le projet Manger « local » dans la Communauté métropolitaine de Québec : relocalisation des systèmes alimentaires et ville durable (CRSH 2012-2016). Cette recherche a permis de répertorier et de géolocaliser près de 300 dispositifs d’approvisionnement, autres que des supermarchés, situés dans la CMQ et offrant des aliments frais ou peu transformés, produits à une distance relativement réduite du lieu de vente, par le biais d’un circuit court impliquant un intermédiaire, tout au plus, entre producteurs et acheteurs. Un portail internet  destiné au grand public et donnant accès à une carte interactive de ces commerces et des jardins d’autoproduction situés sur le territoire de la CMQ, est issu de ce projet (mangerlocalquebec.info).

Augustine est étudiante au baccalauréat en anthropologie à l’Université Laval. Elle s’est jointe au projet REPSAQ dans le cadre de sa formation pratique. Son objectif principal, dans le projet, est de documenter les initiatives agroenvironnementales qui visent la transition vers un système alimentaire plus durable de la région de Chaudière-Appalaches. Elle devra par ailleurs faire une ou deux études de cas sur certaines des initiatives qui l’ont particulièrement inspirée. Elle s’est jointe au projet, en premier lieu, pour son intérêt pour les enjeux d’autonomie et de sécurité alimentaire.

Détentrice d’un diplôme en Technologie de la production horticole et de l’environnement de l’Institut de Technologie Agroalimentaire ainsi que d’un baccalauréat en agroéconomie de l’Université Laval, Marilou Des Roberts a poursuivi ses études à la maîtrise en agroéconomie. Elle a travaillé sur le volet du projet propre à son domaine d’étude qui vise à étudier les relations entre ce qui est produit et ce qui est consommé sur le territoire. Plus précisément, elle a tenté de répondre à diverses interrogations qui renvoient à la relocalisation de la production alimentaire à l’échelle territoriale, notamment : Comment mesurer le potentiel de couverture des besoins locaux par la production locale ? Quelle est l’adéquation entre ce qui est produit localement et ce qui est consommé localement ?

Les résultats de sa recherche sont disponibles dans la section "Ressources" de ce site Web.

Marilou Des Roberts s'est mérité une place sur le tableau d'honneur 2018-2019 de la Faculté des études supérieures et postdoctorales de l'Université Laval, pour avoir obtenu à l'unanimité des membres du jury des notes excellentes pour son mémoire.

Julie Fortier est nutritionniste et membre de l’Ordre professionnel des diététistes du Québec depuis 2007. Diplômée de l’Université Laval, c’est par son implication bénévole au soutien et à la promotion de l’allaitement maternel pendant près de 10 ans qu’elle a d’abord touché à l’alimentation durable. Ses expériences de travail se situent principalement dans le domaine de la nutrition clinique et communautaire, auprès de clientèles très variées. Au fil du temps, elle acquiert un intérêt marqué pour le maraîchage biologique de petite surface et l’agriculture urbaine. Sa pratique étant jusqu’alors largement axée sur l’individu, elle amorce, fin 2016, un virage académique orienté sur les systèmes alimentaires, l’alimentation durable et la consommation locale. Candidate à la maîtrise en nutrition depuis janvier 2017, ses travaux de recherche, dirigés par Véronique Provencher Ph.D., portent sur les pratiques, perceptions et attitudes des consommateurs de la Communauté métropolitaine de Québec (CMQ) à l’égard des aliments produits localement.

Laurie est étudiante au baccalauréat en anthropologie à l’Université Laval. Elle s’est jointe au projet REPSAQ dans le cadre de sa formation pratique. Son objectif principal, dans le projet, est de documenter des initiatives agroenvironnementales qui visent la transition vers un système alimentaire plus durable des régions de Chaudière-Appalaches et de Québec. Elle devra par ailleurs faire deux études de cas sur certaines des initiatives qui l’ont particulièrement inspirée. Elle s’est jointe au projet, en premier lieu, pour son intérêt pour les systèmes alimentaires, l’environnement et la consommation.

Geneviève Parent est professeure titulaire à la Faculté de droit de l’Université Laval et titulaire de la Chaire de recherche en droit sur la diversité et la sécurité alimentaires (DDSA).

Ses champs d’intérêts sont la sécurité alimentaire et le droit de l’agroalimentaire national et international. Ses recherches portent notamment sur les moyens juridiques nationaux et internationaux d’assurer la diversité alimentaire, l’analyse des impacts du droit international sur la législation canadienne et québécoise de l’agroalimentaire et la recherche d’une plus grande cohérence entre le droit international économique et les autres sphères du droit international public au profit d’une sécurité alimentaire mondiale durable. Elle a contribué à la rédaction de nombreux ouvrages scientifiques et est fréquemment invitée à prononcer des conférences dans diverses rencontres nationales et internationales.

Véronique Provencher est professeure titulaire de l’École de nutrition de l’Université Laval et chercheuse à l’Institut sur la nutrition et les aliments fonctionnels (INAF).

Diététiste/nutritionniste de formation et membre de l’Ordre Professionnel des Diététistes du Québec, Mme Provencher a poursuivi ses études à la maîtrise et au doctorat à l’Université Laval pour ensuite compléter un stage postdoctoral en psychologie à l’Université de Toronto.  Depuis 2009, elle a mis en place un programme de recherche novateur s’intéressant aux facteurs psychologiques et comportementaux en lien avec la régulation de la prise alimentaire et du poids corporel de même qu’à l’évaluation de l’implantation et de l’efficacité de programmes de prévention et de promotion de la santé. Elle est également présidente du comité scientifique de l’Observatoire de la qualité de l’offre alimentaire. Le but de son programme de recherche est de développer de nouvelles pratiques de santé publique permettant la promotion d’habitudes alimentaires saines et durables tout en favorisant une saine gestion du poids.

Détenteur d’un baccalauréat en anthropologie à l’Université Laval, Mikaël poursuit ses études à la maîtrise en anthropologie. Sous la supervision de Manon Boulianne, il documente une initiative de verdissement des ruelles dans le quartier Limoilou. Impliqué comme bénévole auprès de différents organismes locaux œuvrant dans le domaine de l’agriculture urbaine et de l’alimentation locale, Mikaël travaille également à titre d’auxiliaire de recherche sur le projet REPSAQ. Il s’occupe entre autres de comprendre comment les aliments circulent sur le territoire en interrogeant des transformateurs et des distributeurs alimentaires et de déterminer quelles sont les contraintes auxquelles ces derniers font face lorsque vient le temps de s’approvisionner localement.